• Louange de Saint François pour Noël !


    Psaume 15

    Criez de joie pour Dieu qui nous sauve,
    accueillez par vos chants le Seigneur, le Dieu vivant.

    Car il est le Seigneur, le redoutable, le Très-Haut,
    le Puissant, le Roi de l’univers.

    Il est notre Père très saint, notre Roi,
    qui dès avant la création du monde,
    envoya du ciel son Fils bien-aimé
    Jésus qui est né de la Vierge Marie.

    Il invoque Dieu en disant:  » Tu es mon Père « ,
    et Dieu dit:  » J’établirai mon Premier-né
    au-dessus de tous les rois de la terre! « 

    En ce jour le Seigneur Dieu a envoyé sa grâce,
    la nuit a retenti de sa louange.

    Voici le jour que le Seigneur a fait,
    jour de triomphe et jour de joie.

    Car un enfant nous est donné,
    il est né pour nous, pèlerin sur la route,
    nulle chambre pour l’héberger,
    il est né dans une crèche.

    Gloire à Dieu au plus haut des cieux,
    et paix sur terre aux hommes qu’il aime.

    Que les cieux se réjouissent et que la terre exulte,
    que jubile la mer avec ses habitants,
    que fleurissent les plaines et chantent les forêts!

    Chantez-lui un cantique nouveau,
    chantez le Seigneur, terre entière!

    Car le Seigneur est grand et digne de louange,
    devant lui disparaissent toutes les idoles.

    Peuples païens, reconnaissez le Seigneur,
    rendez-lui honneur et louange,
    reconnaissez la gloire de son nom.

    Faites don de vous-mêmes
    et vous aussi portez sa croix,
    obéissez jusqu’au bout à ses commandements.

  • St François, Frère universel

    Pour saint François

    qui chante l’œuvre de tes mains, béni sois-tu !

    Accorde-nous de découvrir à notre tour,

    dans la beauté de l’univers, un reflet de ta bonté.

    Pour saint François

    qui embrasse le lépreux, béni sois-tu !

    Accorde-nous de reconnaître dans l’exclu, le rejeté,

    notre Seigneur et notre frère.

    Pour saint François

    qui relève ton Église, béni sois-tu !

    Accorde-nous de la servir avec amour,

    suscite encore en ce temps-ci des prophètes et des saints.

    Pour saint François

    qui se dépouille de tous ses biens, béni sois-tu !

    Accorde-nous de vivre avec la même allégresse

    la pauvreté selon l’Évangile.

    Pour saint François

    qui nous enseigne la joie parfaite, béni sois-tu !

    Accorde-nous de nous ouvrir à la grâce de cette joie

    quand l’humiliation ou la souffrance nous visitent.

    Pour saint François

    qui porte en son corps les blessures du Christ, béni sois-tu !

    Accorde-nous de nous laisser saisir par Jésus crucifié

    et de parvenir avec tous nos frères à la gloire de sa résurrection.

  • Prière à Notre Dame de Pitié

    Cette Vierge a été priée avec confiance par Mère Joséphine,

    fondatrice des Petites Sœurs de St François, qui en a obtenu des grâces.

    A son exemple, invoquons-la en récitant :

     

    O Vierge des douleurs, Notre Dame de Pitié,

    que Mère Joséphine n’invoqua jamais en vain

    et qui obtint de Vous sa guérison miraculeuse,

    daignez avoir pour agréables les prières

    que nous vous adressons par son intercession…

     

    Obtenez-nous surtout, nous vous en supplions,

    d’imiter les vertus dont elle nous a donné l’exemple :

    l’humilité, la foi absolue, et la confiance en la divine Providence,

    la charité envers Dieu et les membres souffrants de votre divin Fils,

    pour procurer la gloire de la Trinité Sainte

    et parvenir au bonheur éternel.

    Ainsi soit-il

  • Méditation sur ce mal qui nous ronge…

    Encore et encore,

    tu prolifères,

    tu nous enserres

    mènes la guerre

    qui encrasse tous les rouages

    et qui dépasse tous les sages

    soleil est là, mais pas de plage

    tu nous confines et c’est la rage.

     

    la planète ne tourne plus rond

    à bas la mondialisation !

    mais n’en perdons pas la raison

    unissons-nous, espérons.

    que nous en sortirons plus sages,

    que naîtront de nouvelles tâches

    que la vie nous semblera plus belle

    que la joie nous remettra en selle.

     

    science               confiance                 endurance               espérance                      naissance

     

    De Françoise Gérard, Petite Soeur de St François à Angers

     

     

  • Naître… un poème d’une Petite Soeur

    Un enfant est là, tout abandonné,

    Et sa vie si fragile de bébé.

    Là, de nos cœurs endurcis, attendris,

    Grâce à ce tout petit, jaillit la vie !

    Notre monde est bien vieux, engoncé,

    Dans ses certitudes, ses violences,

    Est-il bien prêt à faire silence,

    à s’attendrir face au nouveau-né ?

     

    Les hommes n’ont pas trouvé Dieu dans les cieux,

    et pourquoi aller si haut, toujours plus haut,

    alors qu’il suffit, simplement de baisser les yeux,

    Il est là, présent, au milieu de nous, pauvre et nu.

     

    Il vient réveiller nos vies,

    Il chasse tous nos soucis,

    Il désire être notre ami,

    Et chez nous, Il cherche un abri.

    Françoise Gérard

  • Poème de Noël !

    Il faisait nuit …

    Marie et Joseph, eux, marchaient,
    depuis des jours, et espéraient,
    qu’une porte s’ouvre,
    et un gite trouvent.

    Car le petit se faisait,
    oui, de plus en plus pressant,
    au cœur du recensement.
    Mon Dieu ! Mais quelle idée ?

    Le petit est là, est bien présent,
    au cœur de nos bouleversements.
    Et, il nous accompagne sur nos routes,
    il est présent en toutes nos déroutes.

    Il vient bouleverser nos doutes,
    au cœur de la nuit de nos routes.
    Il est là, tout petit, frappe à notre porte,
    le voyons-nous, présent, au cœur de ces cohortes ?

    Mon œil l’a vu, ce tout, ce tout-petit, bien vivant :
    Beauté dans la laideur, les noirceurs du monde,
    Fragilité de Dieu, en notre chair naissant,
    Lumière au cœur des ténèbres du monde.

    Ouvrons-Lui  nos portes,
    et ouvrons-Lui nos cœurs,
    Il chassera nos peurs.

    Françoise Gérard, une Petite Soeur

  • Loué sois-tu Seigneur pour Frère François !

    Pour saint François
    qui chante l’œuvre de tes mains, béni sois-tu !
    Accorde-nous de découvrir à notre tour,
    dans la beauté de l’univers, un reflet de ta bonté.

     

    Pour saint François qui embrasse le lépreux, béni sois-tu !

    Accorde-nous de reconnaître dans l’exclu, le rejeté,
    notre Seigneur et notre frère

    .Pour saint François    
    qui relève ton Église, béni sois-tu !
    Accorde-nous de la servir avec amour,
    suscite encore en ce temps-ci des prophètes et des saints.

    Pour saint François qui se dépouille de tous ses biens, béni sois-tu !
    Accorde-nous de vivre avec la même allégresse
    la pauvreté selon l’Évangile.

    Pour saint François
    qui nous enseigne la joie parfaite, béni sois-tu !
    Accorde-nous de nous ouvrir à la grâce de cette joie
    quand l’humiliation ou la souffrance nous visitent.

    Pour saint François
    qui porte en son corps les blessures du Christ, béni sois-tu !
    Accorde-nous de nous laisser saisir par Jésus crucifié
    et de parvenir avec tous nos frères à la gloire de sa résurrection.

  • Hymne à Marie

    Marie est là, ouvrons-lui nos portes !

    Mai arrive, or que de bruits !
    La bonn’odeur du muguet
    apaise bien des esprits,
    tout excités, par leurs envies.

    Mai arrive : « place à Marie ! »,

    donc respirez la simplicité
    qui désarme les ambitieux, oui !
    N’est-elle pas emplie de l’Esprit ?

    Confions-lui tous nos soucis,
    n’est-elle pas aux aguets ?
    Marie marche à notre pas, oui !
    N’est-elle pas notre Mère, bénie ?

    Marie du oui,
    Marie oubli,
    Marie de Nazareth.

    Marie du fruit,
    Marie sans bruit,
    Marie de Bethléem.

    Marie qui fuit,
    Marie et le petit,
    Marie en exil.

    Marie qui dit :
    « ils n’ont plus de vin ! »
    Marie à Cana.

    Marie souci,
    veut voir son petit,
    Marie notre chair.

    Marie au pied
    de la Croix, douloureuse,
    Marie confiée à Jean, l’Ami.

    Marie avec les disciples,
    engendre l’heure de la Foi ;
    « Il est Vivant, alleluia ! »

    Françoise G, Petite Soeur de Saint François

  • Le Bon Pasteur. méditation interactive

    Journée mondiale de prière pour les vocations : « Je suis le Bon berger »

    En ce dimanche de prière pour les vocations, nous vous proposons une méditation partagée !

    Cette icône a été écrite par une Petite Soeur. Nous vous invitons à partager dans les commentaires ce qui vous touche dans cette icône, ou une méditation, une prière qu’elle vous inspire…

     

  • Le tombeau est vide !

    Le tombeau est vide,

    il n’y a rien, plus rien,

    que des bandelettes et un suaire

    roulés, rangés dans un coin.

    Il n’est plus là, Il est parti.

    Où ? mystère.

     

    Trois années avec Lui sur les routes de Palestine.

    Trois années à l’écouter, le regarder, le suivre.

    Tout ce temps pour le connaître,

    le découvrir et essayer de comprendre

    un peu, sans doute.

     

    On a suivi parfois sans savoir,

    on a écouté, il parlait bien;

    on a vu des choses extraordinaires,

    on a risqué notre vie avec Lui,

    on a eu peur.

     

    Comme Il nous l’avait dit, Il l’avait prédit,

    il a été mal compris, il a été dénoncé.

    On a fini par le condamner,

    Il valait mieux qu’un homme meurt

    plutôt qu’une foule à le suivre.

    Il en est mort

    comme un malfaiteur, sur la croix,

    pourquoi pas !

     

    Nous qui l’avons suivi, il ne nous reste plus rien;

    on y croyait à sa vie,

    à notre vie a sa suite.

    Il est mort, Il n’y a plus rien,

    le tombeau est vide.

     

    Pourtant de ce rien, de ce vide, tout devient possible,

    quelque chose nous dit qu’il n’est pas mort;

    un petite lueur, une petite étincelle…

    et si tout commençait !

    il ne peu pas nous abandonner

    et c’est dans ce tombeau vide que la lumière a jailli.

    C’est dans cet espace où il n’y a plus rien

    qu’Il devient présence pour tous.

     

    Ils sont partis comme des fous

    dire aux autres : Il n’est pas mort, on en est sûrs,

    Il est ressuscité !

    Poème de Christine, Petite Soeur